C’est en 1973, en lisant dans une BD pour adolescents sur les travaux de Konrad Lorenz (avec les Choucas et les Oies) que j’ai mordu à l’ornithologie (rien à voir avec la grippe aviaire). J’ai eu par la suite la chance d’accompagner sur le terrain des spécialistes (dont je ne suis toujours pas) dans des comptages d’hivernants ou des baguages dans ma région natale du Forez (se prononce comme forêt). C’est un pays d’étangs et de moyenne montagne où l’on peut observer aussi bien le Cincle plongeur que la Nette rousse, le Circaète Jean-le-Blanc que l’Echasse blanche.

Mais j’apprécie aussi la forêt de Rambouillet ou le Marquenterre, le cap Fréhel ou les berges de la Loire, comme j’aime observer les passereaux de mon jardin ou les Ibis et les Talèves en Camargue.

Si je me suis passionné pour l’observation des oiseaux (et de la faune en général), avec jumelles et longue-vue, ce n’est que très récemment que je me suis équipé pour faire de la photo numérique (juste avant la pandémie - dommage !) dans l’optique de rapporter des souvenirs et de les partager d’abord en famille et demain avec les autres membres de PHANA. Mais comme je serai bientôt à la retraite, je compte bien profiter (en partie) de mon temps libre pour faire plus d’affuts et progresser dans la photo animalière.

Et j’ai la chance de partager cette passion pour la nature avec mon épouse, mes enfants et maintenant mes petits-enfants.